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Vous avez besoin d’aide

Je suis un enfant

EN CAS D’URGENCE : APPELEZ LE 119

Numéro gratuit et confidentiel,
accessible 7j/7 et 24h/24

Le 119 n’apparait pas sur les relevés téléphoniques. Le site www.allo119.gouv.fr propose également différents services, dont un tchat en temps réel et un dispositif en langue des signes française.

Je suis un adulte

EN CAS D’URGENCE : APPELEZ LE 3114

Numéro national de prévention du suicide.
Numéro gratuit et confidentiel,
accessible 7j/7 et 24h/24

Vous avez ou vous êtes toujours victime de maltraitance maternelle.
Nous mettons à votre disposition une plateforme d’écoute avec des professionnels et des bénévoles qualifiés, ainsi que des groupes de parole pour vous accompagner.

Je suis témoin

Ne fermez pas les yeux,
faites un signalement à la CRIP.

La Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes (CRIP) est placée sous la responsabilité du Conseil Départemental. Elle a pour mission d’évaluer et de recueillir, toute information préoccupante concernant les mineurs en danger ou en risque de l’être.
La CRIP est en lien avec le numéro vert 119. Nous sommes là aussi pour vous accompagner dans cette démarche ou pour vous conseiller si besoin.

Vous n’êtes pas seuls, ensemble libérons la parole.

«J’ai vécu depuis ma naissance des violences physiques et psychologique de ma génitrice. Comment raconter 40 ans de torture… J’ai été battue physiquement jusqu’à l’âge de 43 ans et les violences psychologiques je n’en parle pas… Elle a détruit ma vie… Mais aujourd’hui j’ai la chance d’être vivante et que mon mari soit toujours à mes côtés ! J’ai coupé les ponts il y a 10 ans, mais depuis quelques temps je vis en choc post-traumatique.
Encore merci pour votre combat.»

« Pour ma génitrice j’étais déjà indésirable, elle me racontait toujours qu’elle avait essayé par tous les moyens de m’avorter et qu’elle n’a pas pu… Ma génitrice me giflait toujours sans raison, me hurlait dessus, me rabaissait, me ridiculisait tout le temps, des fois elle me disait que j’étais la fille de la bonne car je ne pouvais pas être sa fille car j’étais trop foncée pour l’être… La liste est longue…(…)J’ai fui le jour de mes 18 ans. Quand j’ai eu mon cancer du sein à la trentaine j’étais « heureuse », je pensais que si je lui disais : « j’ai un cancer, je risque de mourir » elle allait enfin m’aimer. Pensez-vous… Elle m’a traitée de menteuse d’abord, après elle m’a dit de crever… Aujourd’hui à la quarantaine j’ai vraiment fait son deuil ainsi que de toute cette famille dysfonctionnelle grâce à un travail avec psy, sophrologue, thérapie emdr, méditation, hypnose…
Ma vie ne fût qu’un long chemin de souffrances psychiques et physiques, et malgré l’acharnement des gens autour de moi pour m’achever et bien je suis toujours debout à me battre pour exister ! »